RP communautaire : Danse avec les Chafers.

Bon, j'ai en clairement marre d'écrire alors je vais simplement vous faire une copie du message que j'ai envoyé afin de participer au concours d'RP auquel j'ai participé avec l'aide d'Ombre.
Désolé pour la mise en page, mieux étudiée dans le post officiel :

Citation :

Je vais vous raconter ici, une part de l'histoire dofusienne, qui a marqué très récemment le monde des Douze et beaucoup d'êtres, de tous horizons, de toutes cultures, de toutes nations et de toutes natures...
En effet, la semaine s'étendant du 3 au 10 Apériel de l'an de grâce 642 fût très mouvementée...

Mon conte met en scène une situation vécue par plusieurs personnages Rykke-Erreliens, principalement, un sage Osamodas surnommé "Pousse", une des plus anciennes Roublardes explosives, du nom de "Ptite-Roublarde", une Zobalette au comportement très lunatique répondant au patronyme dofusien de "Sat" et un Crâ descendant d'une longue lignée de princes, en quête d'aventures. Il était jeune (malgré ses cheveux poivre et sel), fougueux (y compris avec les damoiselles) et philosophe (forcement me direz vous, après des années à essuyer quelques râteaux, cet art de la plume lui est apparu comme une évidence). Blague à part : Il est maintenant marié, à la ravissante Fécatte Lhx-Milow. Bref, il se nommait "Ombre-Tonal".

Prologue : Une arrivée fracassante.

Après la réception de la lettre des soldats-miliciens de la garnison d'Amakna, l'intendant de Bonta, Danathor, passa un appel au combat aux guildes bontariennes qui pourraient accepter de s'impliquer dans l'affrontement contre la menace osseuse et cartilagineuse des Chafers. Ceci monnayant quelques récompenses diplomatico-politico-magouillardes… ou une pierre tombale assortie d'une médaille à base d'os de... Chafer (en effet, Danathor faisait preuve d'un humour noir et de toute évidence et très douteux).

Pinsasucrus, meneur de la Dead Of Dream, s'éveillant de sa longue nuit cavernicole de Sram, rapporta la nouvelle parmi les siens. Il dût pour cela se déplacer jusqu'à la taverne amaknéenne squattée par ses confrères.

Pousse débattait comme à son habitude, en compagnie de ses deux cousines : l’une Roublarde, l’autre Zobalette. Ombre débattait aussi, plus pacifiquement avec le trio. Il s'étalait petit à petit sur la table en bois, plongeant dangereusement son nez dans la flaque alcoolisée qui décorait le meuble. La conversation portait encore sur les Roublards. Leurs stratégies complexes barbaient le disciple de Crâ. C'est vrai, lui, pauvre archer, en ce mardi 3 Apériel 642, (où beaucoup parlaient de la MàJ-uscule 2.6.tant novatrice) n'avait subi aucune modification majeure, ni bénigne. Pas la moindre nouvelle croustillante à faire dresser son carquois, pas le moindre combat exotique pour briser l'interminable routine dofusienne : "Kamas-Xp-Drop".

C'est à ce moment-là que leur meneur apparut brutalement. Il venait de traverser la porte millénaire de la taverne en y dessinant au passage une belle silhouette svelte. Le fracas des os et du bois réveilla le lieu de beuverie, et tous avaient déjà dégainé leurs armes, y compris le tavernier.

Chapitre 1 : Une armée de misérables squelettes.

Ombre interpella le nouvel arrivant :
« - Hey ! Pinsouille ! Content de te voir ! Dis-moi, tu sais qu'on peut franchir les portes sans les défoncer ? Je sais bien que tu aimes bien les entrées discrètes, mais le coffre de la guilde serait rassuré s'il ne devait pas rembourser sans cesse les seuils que tu exploses. »
Pinsa, souriant de toutes ses dents, adressa un regard vide de ses orbites au Crâ qui s'excusa.
« - Je sais, je paierai de ma poche celle-ci, MAIS ! J'ai enfin l'occasion que vous attendez tous ! Une bataille immense où Amakna, Bonta et Brakmar devront s'allier pour vaincre ! »
L'assemblée se figea, il reprit :
« - Nous avons affaire à une armée non réglementaire de Chafers, d'un nombre infini d'individus. Et n'ayant qu'un seul but ! Reconquérir le moooooonde ! »
Le mot résonnait dans le silence paroissial.
Pousse, l'air grave, répliqua :
« - Pinsouille ! C'est ridicule ! Une armée de misérables squelettes désorganisés, complètement zinzins qui s'attaque aux trois plus grandes nations du territoire, ça tient pas la route ! Soyons sérieux, deux coups de bâton, et c'est fini, tous refoulés dans leurs cimetières !
- C'est toi le misérable ! Il ne faut jamais sous-estimer les événements, encore plus quand ils ont lieu les jours de Màj-uscule. Crois-tu que Danathor est fait appel à nous tous pour rien ? Crois-tu qu'Allister s'est enfermé à double tour dans son donjon pour rien ?
- Allister est un vieux sénile qui a peur du premier bouftou d'Hallouine venu ! »
Soudain, tous sursautèrent :
Un bruit sourd provenait de l'extérieur de la taverne, un bruit de craquement d'os, venu du Sud-est, du Cimetière d'Amakna...
Les aventuriers sortirent alors, nez à crâne avec un escadron de 8 Chafers Draugr.

Chapitre 2 : Le discours d’un roi.

Pousse sortit alors son..."Brageut" et commanda l'assaut :
« - Roub ! Bombes fumigènes sur les flancs droit et gauche ! Pinsa ! Tu places tes pièges dans l'axe. Pas des pièges de placement ! Ombre ! Donne-nous de la portée, j'ai oublié mes culs de verre ! Sat, envois tes boucliers.
Le chœur répondit aux ordres du monarque, (meneur compris) :
« - Oui Chef ! Tout de suite Chef ! »
Inutile de préciser qu'ils n'étaient pas ravis de se faire commander comme des pantins, mais la situation dramatique et soudaine les obligeait à obéir pour ne pas basculer dans le camp des morts-vivants.

Les Chafers Draugr, enfumés comme des abeilles sur les flancs se précipitèrent au centre, avec pour seul objectif, l'énorme...Brageut...de l'Osa. Un bruit sournois témoigna du déclenchement des pièges...puis...plus rien, rien que des os brisés sur la terre.
Le silence régnait à nouveau dans la plaine tranquille du village.
Le meneur reprit son poste, distribua une ration de potion bontarienne à chaque personne, -tavernier y compris afin de l'amener en lieu sûr-, puis prit la parole, après avoir toussé (en effet, quelques copeaux de bois de la porte lui étaient restés en travers de la gorge) :
« - Mes chers amis, mes chers inconnus, mes chers boufmouth de guerre, l'heure est grave, la menace sérieuse ! Nous devons rentrer à Bonta afin de mieux cerner cette attaque, d'y voir plus clair et de préparer nos défenses ! »

Comme si le discours nullement ennuyeux de Pinsa avait été capté par l'armée chafeuse, une deuxième vague de Chafers en tout genre attaqua la taverne, des Chafers de toutes les couleurs, de toutes les armes, de tous les siècles, des petits, des grands, des Draugr à cornes et marteaux, des Primitifs aux dagues, des Ribs sans chair (à BBQ), des Invisibles, et même...des normaux !
Ce coup-ci, Pousse ne dégaina pas son bâton. Il prit ses jambes, les porta à son cou, et couru. Les autres firent à peu près de même.

Ils passèrent l'angle de la taverne, la horde sanguinaire à leur trousse, foncèrent droit sur la banque, violentèrent les banquiers en les entrainant avec eux, et s'enfermèrent dans le coffre fort.
Après s'être échangés quelque coup d'œil entre eux, tous dégoupillèrent leur fiole de potion de cité bontarienne, à l'odeur pestilentielle de riz alcoolisé Pandawa, et les descendirent cul-sec.
C'est ainsi que dans une fumée bleue le groupe disparu pour rejoindre la cité des anges.

Chapitre 3 : Ca ne rigole plus !

Pinsa s'était cassé un os, il n'était donc plus question de rire, mais bien de faire face à une menace continentale d'envergure encore inégalée à ce jour. Il assigna Sat à l'exploration du cimetière de Brakmar ainsi qu'à la ville démoniaque, afin de vérifier que Djaul n'était en rien lié à cette affaire. Ombre, Pousse et Roub quand à eux, furent missionnés à la défense de Bonta puis à une attaque furtive et chirurgicale du côté du cimetière bontarien, suspecté d'être la source de l'invasion. Le meneur avait choisi une défense passive de la cité en restant dans la maison de guilde à panser ses blessures afin de revenir sur le champs d'action le plus tôt possible. La cité entière devait être mobilisée pour refouler les Chafers qui apparaissaient d’ores et déjà aux portes Est et Sud de la cité en cette fin d'après-midi.

Chapitre 4 : Quand une jeune bontarienne met le bazar à Brakmar.

La Zobalette prépara sa fidèle dragodinde, en prenant soin de la protéger, puis profita de la nuit utiliser le Zaap de Bonta pour un voyage clandestin en direction des landes de Sidimote, lieu interdit par la confédération des Zaaps bontariens. Elle savait bien qu'elle ne supportait pas les voyages en Zaaps, qui lui donnaient mal au cœur, et avaient des effets néfastes sur la stabilité de son humeur, mais elle n'avait pas le choix, impossible de sortir de la cité assiégée de façon frontale.
Elle partit donc avec son masque de Classe et arriva sur place avec un masque rouge et blanc à cornes. On ne sait pas par quel miracle, ce costume lui permit de s'infiltrer dans Brakmar, les Chafers s'inclinèrent devant ses cornes décorées, et les miliciens -trop occupés à repousser ces derniers-, ne purent l'empêcher de traverser le pont Nord de la cité djaulienne.
Ce détail n'échappa pas à la Psychopathe à drago, qui profita de son incursion à Brakmar pour aller régler ses comptes envers quelques gardes corrompus du côté de la milice... Et cela sans réfléchir et cédant à sa fougue, et non à la logique qui voudrait qu'une bontarienne n'aille pas se jeter dans la gueule du loup. Elle traversa ainsi plusieurs hdv devant une horde de brakmariens prêts au combat, dévasta sur son passage l'hôtel de vente des paysans, puis renversa la quincaillerie de l'hdv des ressources, devant des aventuriers de faibles cercles effarés. La Zobalette pénétra alors violemment dans la milice, archi comble, qui recrutait des miliciens pour la défense de la métropole.

Chapitre 5 : Première nuit blanche.

Pendant ce temps à Bonta la Blanche...
Le trio tint la porte Sud de Bonta de 20h à 22h, puis il fût relayé par plusieurs groupes d'aventuriers de tous niveaux, la mobilisation était moyenne, mais assez encourageante pour une convocation si rapide et si soudaine. Pousse et Ombre avaient la même idée quand ils allèrent prendre leur heure de pause à la taverne de la Bagrute...
« - Ombre, à trois, on ne passera jamais les bois de Litneg, déjà que Kruor doit guetter les fous qui passeraient à portée de dagues... et que l'armée chafeuse se renouvelle très vite ! Il nous faut recruter des alliés, des proches pour nous accompagner, et beaucoup d’autres pour faire diversion, et nous permettre de faire une percée vers le cimetière ».
Le Crâ réfléchit une petite poignée de secondes...avant de finalement répondre :
« - L'union fait la force, et les Eniripsas sont belles... Ca va de soit ! Plus sérieusement, je pense que la magie des Xélors nous serait utile, ainsi que de bonnes armures de Féca. Je peux m'occuper du Féca et du Xélor, tu prends en charge l'Eni et la troupe de diversion. »
Pousse acquiesça puis retourna à la maison de guilde, près de l'hdv bucheron. Il pût recruter quelques volontaires, tels qu'un sacri, "Sacri-Leje", une cratte "Kra-Pie", et une autre "Mauwoteck" suivis d'une nouvelle recrue fécatte "Eleraldhan", d'un nini de petite taille, et de trois autres recrutés sur le tas. Il courtisa ensuite une de ses très bonnes amies, laquelle était par pur hasard une Eniripsa des plus charmantes du nom de "Nacki"…
De son côté, Ombre appela un ami de longue date, un puissant Féca, "Yesorce", ainsi qu'un robuste Xélor du plus haut cercle, "Mull".
Cette organisation sans faille permit au groupe de repousser l'attaque sur la porte Est de Bonta, cette nuit là. C’était sans compter la séparation du groupe sous les agressions répétées de leurs ennemis.

Chapitre 6 : Dérouillée diplomatique.

Sat faisait une démonstration de force aux brakmariens, elle empilait ses adversaires comme on empilerait des crêpes, de façon insultante, les recrues se prenaient une belle dérouillée. Heureusement pour eux, avant de mettre la milice entière en K.O. technique, par la grâce divine, un éclair de Jiva la foudroya et la ramena à la raison. Elle avait à nouveau équipé son masque de Classe.
Elle était prête à parlementer avec les Brakmariens.

Environ une heure plus tard, elle se positionna au Zaap, en y aillant convié le maximum de troupes démoniaques. Les dirigeants de la ville, fous de rage de voir une bontarienne sur leur sol, la laissèrent parler, situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle. Elle prit donc la parole devant un Brakmar terrorisé et en proie au doute après une telle attaque contre leur ville :
« - Ecoutez-tous ! Je ne suis pas là pour vous provoquer, ni pour porter la guerre inter-cité dans vos murs, mais bel et bien en réponse à une menace qui outrepasse nos querelles. La Zobalette parlait d’un ton calme et solennel, La nuit dernière, le Château d'Amakna, une zone neutre, la Cité de Bonta, zone bontarienne par excellence, et votre métropole brakmarienne, ont étés assiégées par des hordes de Chafers de toutes espèces, ils nous attaquent tous sans distinction. Ils ne font aucun prisonnier, massacrent et pillent tout sur leur passage ! Beaucoup sont déjà morts au combat pour que nous puissions parler ici. Je vous demande donc de ne pas gaspiller leur sacrifice, d'unir les forces de nos trois nations… afin de contre-attaquer et de répondre à ces attaques en leurs cœurs ! Je demande l'état de guerre communautaire contre l’invasion des Chafers ! »

La cite pourpre se figea un instant, comme pour mieux assimiler le discours qui leur avait été fait. Puis, en un élan collectif, tous se mirent à crier, hurler, tous voulaient se battre.
Brakmar affutait ses lames et Sat enfourcha sa monture en direction des landes, pour prendre un zaap direct pour les plaines de Cania.

Chapitre 7 : Une lueur d’espoir.

La brume matinale empêchait le groupe d’avancer, révélant toujours au dernier moment une sournoise attaque des monstres. Les combats s’enchainaient. Petit à petit, le groupe se scinda, en deux, puis trois parties, afin de permettre au plus rapides d’avancer. Les esprits étaient en état de stress permanent, il est impossible de définir précisément leur situation, tant celle-ci était épouvantable, tous étaient marqués physiquement et surtout moralement.
Ils ne purent atteindre les abords du cimetière avant le zénith.
Les 6 guerriers se divisèrent par binôme afin d’explorer le lieu, qui paraissait hors du temps. L’endroit était étrangement vide, les tombes retournées, le sol labouré, les cryptes pillées. Le désordre le plus total régnait dans un calme inquiétant.
Au bout de quelques heures, ils se réunirent.
-.Rien de notre côté, Pousse et moi n’avons rien trouvé, c’est désert, grogna Ombre.
- Pareil pour nous, répondirent Mull & Yes.
Vint le tour du binôme féminin, Eni-Roub :
-.Faut croire que nous avons eu plus de chance, je dois avoir un peu de sang Enutrof sous les bottes. On a ramassé un coffre bien rempli, il y a de quoi rembourser la dette de Pinsa, et s’acheter un bel enclos à Otomai, annonça victorieusement R.
- Sinon, pas d’âme qui vive non plus, renchérit Nacki.
A l’unanimité, le groupe décida de s’accorder une journée de repos, dans les rues à nouveau bondées de Bonta.

La ville avait retrouvé son quotidien, pensant que l’épisode Chafer était terminé et loin derrière elle : pendant une journée entière, le jeudi 5 Apériel, l’activité générale était au nettoyage des rues, aux prières pour les morts, à la remise en état des fortifications extérieures ainsi qu’au ravitaillement des avant-postes.
Pousse écrivit une lettre à Sat et l’envoya par Corbac voyageur. Il était question de la faire rentrer au plus vite, pour profiter du calme enfin rétabli.

Chapitre 8 : L’embuscade.

La Zobalette avait le ventre retourné comme d’habitude à la suite de l’utilisation du portail de pierres. Elle bu alors un remède luttant à l’origine contre la Pandrista, se mit en selle, et alla vers le cimetière de Bonta, le point de rendez-vous initial. En chemin, en regardant à l’horizon, elle aperçue une flèche d’huile tuer un Corbac en plein vol, et pensa tout de suite à Ombre, mais ignorait le danger qui la guettait.
Une fois arrivée au cimetière (une heure plus tard), elle fût surprise de ne voir absolument personne, ni ses amis, si les habituels résidents du lieu, fantômes et Chafers. Elle ne se méfia cependant pas, et cru à une surprise.
Sat s’enfonça alors au plus profond du cimetière, là où l’air était rare et emplit d’odeurs de morts. L’endroit était délimité par un cercle de cryptes en ruines. Des ossements recouvraient leurs entrées. Au milieu du cercle, trônait une statue à l’effigie du dieu Sram. Intéressée, Sat s’approcha de l’œuvre sculptée. Soudain, un craquement témoigna de la menace, les reflexes de la pauvre aventurière, bien que rapides, ne purent la sauver. Elle se retourna et fût assommée par un colosse de deux mètres de haut aux allures de Chafer Draugr.

Chapitre 9 : Un vendredi noir…

A la nuit tombée, le Vendredi 6 Apériel, les Chafers réussirent un coup de maître, prenant pour la deuxième fois les nations de court.
Le Cimetière d’Amakna, vieux de plus de six siècles, s’anima de la plus noire des magies. L’ensemble des morts qu’il le constituait reprenaient vie. Une armée quasi infinie de mort vivants se leva, encore plus impressionnante que la première, encore plus sanguinaire. En une nuit, les Chafers s’installèrent en Amakna, profanant les temples de classe, balayant la place marchande et le Kanojedo, faisant trembler le château d’Amakna plus fort que jamais, écrasant tout sur son passage.
Il en fût de même pour les deux cités rivales, et leur cimetière. L’effet de surprise était total, les cités qui venaient à peine de s’endormir ne purent tenir ni leurs avant-postes, ni leurs portes. La horde entra directement dans les deux villes, elle saccageait un à un chaque enclos, s’infiltrait et pillait les maisons unes à unes.
Des poches de résistance se formèrent, on y retrouva principalement ceux qui avaient déjà combattus la première vague de Chafers, quarante-huit heures auparavant…

Chapitre 10 : Bonta en flamme.

« -Pinsa ! Pinsa ! Sors de la maison tout de suite ! Elle va cramer ! hurla Pousse
-J’m’en occupe ! »
Ptite-Roublarde invoqua alors son Roublabot auto-commandé, et en prit le contrôle à distance. Le robot s’élança à travers les flammes et pénétra dans la maison, il traversa le rez-de-chaussée à toute vitesse, survola l’escalier menant au premier étage, aimanta le Sram à terre, l’agrippa, redescendit à l’étage inférieur et poussetta Pinsa jusqu’au dehors.
Un épais nuage noir et quelques toussotements plus tard, le rescapé apparut devant la maison en feu. Roub avait réussi son coup, elle intercepta Nacki et lui refila le blessé, avant de courir auprès de son cousin. Il fallait contrer sans cesse les attaques des squelettes qui tentaient d’achever les blessés et de détruire tout sur leur passage.
On entendait des cris, des hurlements, des avertissements…
-Il y en a partout ! Attention derrière toi ! Graaaa…
-3 Draugr devant ! 2 Elite sur le flanc droit ! 1 archer sur ta gauche… 1 invisi…, beugla un aventurier avant de tomber au combat.

C’était une tuerie… Heureusement, nombre d’Osamodas parvenaient à ramener à la vie leur frères d’arme, à grands coups de laisse spirituelles, les Eniripsas n’avaient quand à eux plus une seconde à eux, encore moins pour taper, leur rôle était devenu unique : soigner, soigner, soigner…
Le Carnage dura toute la nuit. Au matin, Les centaines d’aventuriers encore vivants et combattants s’étaient enfin organisés en Bonta et Brakmar. Les affrontements durèrent encore deux jours, sans doute les plus longs qui aient étés… le samedi 7 et le dimanche 8 Apériel 643.
Tous, Pousse, Ombre, Sat, Pinsa, Nacki, Mull, Yes… combattirent pendant ces deux journées… par la chance inouïe du dieu Ecaflip en personne, aucun d’eux ne trouva la mort. Certains étaient gravement blessés, d’autres moins. Mais aucune trace de la Roublarde depuis le sauvetage de son meneur…

Chapitre 11 : Le plan des Roublards.

En effet, la Roub, ne participa pas avec les autres aux combats. Elle se téléporta directement à la source du problème grâce à une potion de sa classe, le samedi. Elle se trouva donc dans le Roub’bar situé dans le plus grand arbre du cimetière amaknéen. Là, avec l’ensemble de la classe, (certes l’effectif était réduit) elle dressa un plan d’action « coup de poing » visant à annihiler les épicentres des attaques, situé aux 3 cimetières. Elle délégua avec l’accord de son mentor, une vingtaine d’individus dans chacun des lieux, avec des ordres simples… Localiser et détruire les colosses de 2m50 aux commandes à l’aide de tous les moyens disponibles, sabotage, bombes, attaque directe, roublardise, ruses…

Notre héroïne, prit la tête du cortège visant la source bontarienne. Pour arriver sur les lieux avec le matériel nécessaire, elle usa de la ruse qui lui est propre : elle guida son équipe à travers la rivière souterraine qui réunissait son temple, le village d’Amakna et une planque d’Astrub.
C’est donc une dizaine de barques bien remplies, qui quittèrent une cachette pour en rejoindre une autre… Ils débouchèrent à Astrub dans la nuit noire du samedi. Le grand village était calme et tranquille, il n’avait pas entendu parler des événements des derniers jours, et n’était pas sur les plans des machiavéliques squelettes. Ils prirent alors discrètement le zaap le plus proche en direction des plaines rocheuses de Cania.
Une fois arrivés, ils étaient exténués, et décidèrent de s’accorder un moment de pause pour reprendre leur souffle.
Roub sécurisa la zone, et découvrit une fiole vidée de potion contre la pandrista, vide. Elle pensa directement à sa sœur Sat, qui n’était toujours pas rentrée quand elle avait quitté Bonta. Soucieuse, elle abrégea la pause au mécontentement général, et donna l’ordre d’accélérer le pas afin d’arriver plus rapidement à l’objectif.

Chapitre 12 : Le sabotage.

Moins d’une heure plus tard, ils franchirent la grille rouillée de l’entrée principale du cimetière de Bonta. Tous étaient prêts au combat, et le groupe avança de façon organisée, ne laissant aucune chance au comité d’accueil. Une fois repérés, ils progressèrent rapidement, jusqu’au centre du cimetière. Roub. Se rappela du lieu, exploré avec Nacki.
Elle conduisit la troupe à la statue Sram. Et fut ébahie, habituellement installée sur une dalle de grès, elle était maintenant en miettes sur le côté, laissant la place à un escalier dérobé gigantesque.

Roub descendit la première, méfiante, et finit par arriver sur une salle voutée immense…
« -Saaaaaaatttttttttt !!!! cria la jeune guerrière.
Elle venait de voir dans le fond de la pièce, à même le sol, sa sœur dans une flaque de sang ».
Deux ombres voilaient progressivement les torches du groupe…
Un Chafer Rönin immense, au casque en acier et tenant une épée gravée se dressa, rejoint bientôt par un Chafer Draugr unique, de plus de deux mètres de haut et armé d’une masse de pierre disproportionnée.
Roub engagea le combat en commandant la section, elle interpella les deux jumeaux :
- Nitrox & Gly-C ?! Unissez-vous, et tentez de retenir le Rönin, je prends le gros.
-Pas de soucis Chef, répondirent-ils ensemble, on s’en occupe !
Elle demanda ensuite à la plus intelligente des Roublardes, Cest-Quatre, de mettre en place le dispositif explosif.

Celle-ci emporta deux de ses confrères, dont Plastik et Antipersonnel dans un coin de la salle.
Les jumeaux s’exécutèrent. Gly-C tentait de retenir le Rönin avec des bombes à eau, afin d’éviter de se faire découper. La manœuvre était difficile, car le squelette casqué fonçait sur ses bombes et les détruisait une par une. Cependant, habilement occupé par un leurre de Nitrox, elle pu mettre en place un mur de bombe, et réussit à le mettre hors d’état de nuire, les autres convergèrent alors sur la bête afin de l’achever d’un même coup.
Le Rönin disparu dans un nuage de purée de pois noire. Laissant derrière lui quelques os, son épée et son casque, le tout récupéré par les opportunistes.

De son côté, la majorité des mouvements de la roublarde pourpre et noire, étaient destinés à éviter les coups de massue du colosse, chacun représentant un coup létal. Elle arriva de justesse à lancer une Tornabombe, puis fît le tour du monument animé afin d’en placer une deuxième. Malheureusement, le colosse ne lui laissa pas le temps de les aligner et l’onde de choc de sa massue déplaça les deux entités explosives. Elle passa alors devant le Draugr XXL, déposa une troisième Tornabombe derrière elle, en symétrique à celle qui était dans le dos de son ennemi, et entourloupa la troisième, bien lointaine.
Le colosse n’eut pas le temps de bouger, et se retrouva au centre d’un double mur handicapant ses mouvements.

Roub couru rejoindre sa sœur, qui gisait par terre, et la prit sur ses épaules.
« -Tout est prêt ! hurla alors la technicienne de l’équipe. »
Tous montèrent alors, quatre à quatre les marches de l’escalier géant poursuivis par le colosse qui peinait à sortir du piège qui lui avait été tendu. In extremis, le groupe sortit. Ceux qui faisaient le guet renversèrent la statue Sram afin de bloquer le passage. Cest-Quatre actionna son détonateur, et un magnifique feu d’artifice illumina l’antre et son occupant.

Chapitre 13 : « Tout va bien ? »

L’aînée déposa Sat contre une pierre, et s’enquit de son sort :
« -Hey, sœurette ?! C’est pas l’heure de nous lâcher, y’a encore du travail ! Tiens, bois ça. Potion spéciale confectionnée par Otomaï en personne, à réveiller un mort ! »
La Zobalette bu quelques lampées au goulot de la bouteille et se releva d’un bond, les yeux endoloris cédèrent la place à des yeux brillants et vifs. Elle s’étira un instant.
« -Houla, faudra que tu me dises où tu as trouvé ça, je me suis pas sentie aussi bien depuis des années ! Merci de m’avoir tiré de cette galère.
-Pas de quoi, dit elle en clignant d’un œil sous son foulard. Bon, t’es prête alors ?
-Et comment ! Où va-t-on à présent ?
-Direction Bonta, récupérer notre bande. Ensuite, on ira prêter bombe forte à l’équipe de Brakmar.
-Bah ! Laisse Brakmar se débrouiller, je les ai piqué dans leur orgueil en leur donnant une leçon, ils sont obligés de vaincre maintenant… Sinon, ils perdent la face ! dit-elle en un éclat de rire, partagé avec sa sœur. »

Avec la mort du chef du Nord, les squelettes hors de leurs zones sur l’ensemble des territoires bontariens ne purent réapparaitre. Pousse, Ombre et Nacki se battirent encore durant la dernière journée, celle du Dimanche, rejoint par Sat et Roub au matin.

Chapitre 14 : La plaine amaknéenne, dernier cœur.

Une fois Bonta libérée, les plus courageux, et les moins blessés, gagnèrent Amakna le lundi matin, afin de porter secours à la garnison du château, menée par Halle Barde. Le Château tenait bon, mais la plaine regorgeait encore de monstres. Certains lieux localisés, abritaient plus d’une vingtaine de groupes ennemis. Et les colosses étaient sortis du cimetière pour porter leur combat sur des zones sensibles, comme la place marchande du village.

L’armée d’Allister renforcée par celle de Danathor dont faisaient partie Pousse, Ombre, Nacki, Pinsa, sortit du château par la porte Sud vers 10h, et engagea les groupes, plusieurs à la fois. L’alliance réussit à tous, toutes les classes et niveaux étaient représentés, minimisant les pertes. On peut dire qu’à partir de ce moment de mobilisation générale, le danger n’était plus qu’une question de temps. Il fallait d’ailleurs en finir rapidement : avant le zénith du mardi 10 Apériel, jour où la maintenance déciderait de l’avenir du continent.

C’est ainsi que la coalition traversa le village d’Amakna à la force de leurs muscles et de leur lames. Le village n’avait pas trop souffert, les villageois avaient pris les armes ou s’étaient réfugiés tant bien que mal dans le château, laissant la bourgade déserte.
L’armée se divisa en deux groupes, d’égale importance, afin d’encercler l’adversité :
-Un attaqua par le port de Madrestam grâce à la complicité des dockers et les dédales des souterrains. Ce groupe était majoritairement amaknéen.
-L’autre, majoritairement bontarien passa à l’Ouest, et prit le temple Sram par surprise, leur offrant un quartier général.

Chapitre 15 : L’union fait la force.

Pousse et Ombre étaient à la tête de la colonne quand elle arriva au zaap central. La concentration adverse était impressionnante, des dizaines de groupes, des centaines de squelettes… Les sorts de zone étaient privilégiés. Les deux hommes se lancèrent dans le tas, l’un avec sa frappe du craqueleur, touchant jusqu’à 6 ennemis à la fois, l’autre avec ses flèches explosives, le tout en ayant réduit la portée des Chafers, tous regroupés, au moyen d’oeils de taupe. Ce n’est qu’au bout d’une heure d’effort acharné, qu’ils arrivèrent à libérer le zaap. Ils se dirigèrent alors en direction du Kanojedo, mais ne purent progresser : la plaine séparant le zaap à l’Ouest du Kano à l’Est était remplie elle aussi de Chafers, mais aussi de plusieurs colosses.

L’intrépide groupe expérimenté, fonça à travers l’armée ennemie, afin de prendre la plus grande partie du gâteau, les géants, pendant que la majorité de l’armée bontarienne, se battait contre les adversaires habituels. Pousse n’arrêtait pas, comme tous ses amis, il fouettait et frappait les invocations des quatre colosses qui les empêchait de les atteindre. Sat et Yes restèrent en retrait, assurant une protection optimale, couplant leur magie et leurs armures et boucliers. Ombre et Roub arrivèrent enfin à atteindre un boss, qu’ils avaient séparé des trois autres au moyen de dispersion aimantation et peur. Roub prépara son combo, pendant qu’Ombre vidait son carquois de flèches en tous genres, arrivant petit à petit à affaiblir son adversaire. Pousse arriva par le flanc droit et assena plusieurs coups de bâton au tibia gauche. Sat et Yes fracturèrent le tibia droit, faisant chuter le géant le nez dans les bombes roublardes. Le poids du casque à corne écrasa les trois bombes poudrées, qui explosèrent alors, ramenant le premier colosse d’où il était venu.

Un groupe de trois Osas, dont Manorman, Kaki-Nanterre et Pousse, désarmèrent le deuxième en unissant la puissance de leurs trois fouets. La masse de plusieurs dizaines de kilos échappa aux métatarses du Draugr XXL. Ainsi désarmé, plusieurs dizaines d’aventuriers se ruèrent sur la bête, ne lui laissant aucune chance, lui brisant chacun des os jusqu’au dernier. La map désemplissait, avec deux des quatre boss en moins le gros de l’armée pût avancer. Cependant les deux derniers étaient plus grands, encore plus puissants, ils se débarrassèrent d’une vague de guerriers d’un simple coup de rotule. Les chances de victoire n’avaient jamais étés aussi proches, mais aussi inaccessibles… C’est alors, que l’armée Brakmarienne arriva du Sud, remontant du temple Sadida après avoir balayé la forêt. Sat reconnue plusieurs de ses anciens ennemis, dégoulinant de sang, de transpiration, aux allures démoniaques, sous les casques pillés aux Draugr qu’ils avaient tué. Au même moment, afin de porter un coup de grâce ultime, le groupe d’Allister venait de l’Est, après avoir dégagé le cœur du village.

Chapitre 16 : L’affrontement final.

C’est ainsi que deux immenses entités cornues firent face à l’union des forces armées du monde des Douze. Les colosses firent beaucoup de mal, grâce à leurs armes de masse, mais ils furent rapidement submergés.

Oto Mustam, venu exceptionnellement pour l’occasion et Danathor pareillement, accompagnés par Allister, descendu de son donjon, formèrent un trio des plus improbables et catalysèrent le pouvoir du continent en un lieu, contrastant avec le cœur obscur de la menace Chafer.
Ensemble, ils récitèrent des rituels antiques, oubliés depuis Grozilla et Grazmera, pendant que les 3 armées paralysèrent les deux géants. La magie combinée des trois alignements, créa un pentacle céleste autour du duo maléfique.

Le temps se figea un instant comme si lui-même ne pouvait assimiler une telle force…
Le pentacle s’enfonça dans le sol, emmenant avec lui les deux immenses cadavres et les deux morts-vivants, qui hurlaient et se débattaient vainement.

Les traces de cet événement sont aujourd’hui toujours présentes dans notre monde, à l’emplacement symbolique et unique où les passerelles entre les 3 alignements se regroupent. 4 mégalithes témoignent des restes du pentacle, et le Guerrier Neuthr, en est le gardien, parfois accompagné en période de grand froid nowelitique par le couple Nowel.

Chapitre 17 : Des lettres de sang pour seul signe de recueillement.

Le lundi soir, une cérémonie fût portée aux quatre coins du continent, au cimetière d’Amakna, de Bonta, de Brakmar, au pentacle, dans les villes et les châteaux. Des stèles avaient été déposées à chaque lieu de recueillement, pour que personne n’oublie la semaine du 3 au 10 Apériel 643, on pouvait y lire… :

A toi qui lit ceci, que tu sois bontarien ou brakmarien,
Qu’importe encore que tu serves à la garnison d’Amakna
Souviens-toi, de tous ceux qui se sont battus pour que tu sois ici,
Souviens-toi, de ceux qui sont morts pour toi,
Souviens-toi, de l’invasion qui faillit renverser Amakna et les deux cités jumelles.
A toi qui lit ceci, fais la promesse, de toujours défendre se que tu chéris le plus,
Ne laisse pas les hordes du mal triompher ni les monstres vaincre.
Les dieux ne peuvent rien contre les êtres matériels, C’est à toi,
Que revient le devoir de te battre au péril de ta vie,
Pour que la liberté, toujours éclate,
Pour qu’ils ne soient pas morts pour rien.
Maintenant vas, profite de ta vie, mais souviens-toi…
Un jour tu seras appelé à te battre pour une cause qui te dépasse…
Vaincs !

A.D.O.

Epilogue ? Le jour de la fête nationale.

Le mardi de la maintenance, fût un jour de fête communautaire sans précédent, Bonta et Brakmar festoyaient ensemble, au village d’Amakna. L’alcool coulait à flot, les gens étaient heureux, Pousse débattait avec ses cousines, Ombre draguait, Pinsa dansait avec Lala, Mull et Yes étaient repartis sur Frigost avec leur bande, en solo. Nacki s’accorda une nuit de folie avant de retourner danser avec Bulgig…

La mobilisation à cette journée était maximale, les deux villes jumelles avaient accordé deux journées de permission pour l’occasion, une trêve générale avait été instaurée. Tout allait pour le mieux, et on ne vit jamais autant de joie des aventuriers à retrouver leur routine Kamas-Xp-Drop.
Tout était donc revenu à la normale, les aventuriers des cercles les plus faibles étaient contents de pouvoir enfin flâner devant les hdv sans être agressés par des hordes de monstres sanguinaires. Danathor était content d’avoir vaincu. Oto Mustam d’avoir fait oublié sa défaite contre la jeune bontarienne en participant à l’ultime assaut…

Tout cela sans que personne ne se soit soucié du dédale qui s’étendait au-delà de l’immense salle voutée, sous le cimetière de Bonta, ni non plus du colosse et du Rönin, passés pour morts.

Paroles de tavernier.

La Roublarde posa son verre sur le comptoir du tavernier, qui était pendu à ses lèvres pulpeuses depuis plusieurs heures. Elle lui avait sans doute fait perdre quelques clients, mais peu lui importait, le récit l’avait transporté. Il était ailleurs, et fût surpris que son invitée s’arrête si promptement :
«-Hey, et la suite ? Où mène la salle secrète ? Où sont allés les deux Chafers ? »
La Roublarde ne pût s’empêcher de sourire…
« -Pour ça, il me faudra bien plus qu’une bière, mon cher ami
-Dis-moi, que veux-tu ?
-Qu’as-tu à donner à une Roublarde de mon envergure ? Rien, ce que je veux tu ne peux me l’apporter pour le moment. Tu auras ta suite, si mon histoire plaît à assez de monde, à toi de la diffuser, un peu être un jour, quand j’aurai une certaine reconnaissance, tu auras ta suite. »
Sur ce, elle prit roublardement un fût de bière (pour refaire le stock du Roub’Bar, et évidemment sans payer), puis sorti, en ayant pris le soin de changer de foulard, pour en aucun cas n’être reconnue.

Nota Bene, Post -Scriptum, Notes de l’auteur, Remerciements…

Bonjour à tous,

J’espère déjà que le fait que j’ai envoyé mon texte depuis l’Espagne ne gêne en aucun cas,
Et que le fait d’avoir écrit autant ne me portera pas préjudice (je n’ai vu aucune close sur la longueur dans le post dédié aux conseils et règles).
J’espère aussi que mes phrases parfois semblables à des « fleuves » n’auront perdu personne.
Et j’espère (encore) que cela aura plus à certains au moins.
Je ne m’attarderai pas plus, juste le temps de quelques lignes, pour les personnes que je me dois de remercier :
Toute ma guilde, la Dead Of Dream, qui me supporte et me félicite à chaque fois que j’écris ^^ ,
Merci à eux,

Petit clin d’œil particulier à Eleraldhan qui m’a dirigé vers le lien de l’évent, lequel m’a conduit ici.

Et un gros bisou à mon Ombre-Tonal, qui a accepté de m’aider, de me relire, durant quelques longues soirées autour d’une chatbox, je sais que ça peut être long, et c’est aussi lui qui m’a tant convaincu et inspiré pour écrire ce bout de texte sur le Krosmoz.

Peut-être à bientôt,
Dreamiquement vôtre,

Pousse alias Petite-Roublarde.

tu as gerer

Scotché Pousse, tu m'a scotché. je ne te dirai que deux mots, " superbe " et " merci "

VIOLENT ! Je vais prendre plaisir à lire ça bout par bout

Très bien! je l'ai même lu entièrement c'est pour dire

FÉLICITATION!! Si il y a un truc que je déteste faire, c'est lire et pourtant je l'ai lu en entier. L'introduction était superbe donc j'ai continué a lire et les chapitres étaient passionnant, a chaque fin il y a un suspense qui nous donne l'obligation de lire la suite. Continué a écrire parce que tu l'a dans la peau et tu aurais du mettre un iop feu, la victoire aurais été plus simple. Non je rigole et encore bravo.

Merci à vous ^^ contents que ça ai plu (au point de lire tant de lignes !)

Pousse